Pour épingler certains défauts de la préciosité, Molière choisit d’écrire une grande comédie en vers où les « femmes savantes » — Philaminte, sa fille Armande et la tante Bélise — semblent dominer et imposer leurs valeurs raffinées à tous leurs visiteurs et admirateurs. Mais c’est un univers d’apparences et de mondanités dans lequel l’esprit et le beau langage l’emportent sur le corps et le bon sens. Les sentiments authentiques finiront-ils par triompher ?